vendredi 10 août 2012

Réflexions personnelles au sujet de l'évolution du concept de GADLU à la GLDF



Réflexions personnelles


au sujet de « L’évolution du concept de GADLU »



À la GLDF, le problème n’est pas le GADLU mais le statut qu’on lui donne.

 

Proclamer l’existence de quelque chose, quelle que soit cette chose, c’est affirmer que cette chose existe.

Si on n’a pas la preuve irréfutable de cette existence et qu’on la proclame néanmoins, on est dans le dogme.

 

(Dogme = Vérité indiscutable garantie par l'autorité compétente. Objet de foi.)

 

Ici l’autorité compétente c’est la GLDF. Elle est dogmatique dans cette position de principe, et les frères ne sont pas libres dans leur recherche de la vérité puisqu’ils doivent intégrer cette existence dans leur réflexion. Le principe proclamé est la limite à cette recherche quoi qu’on dise. Le Gadlu n’est pas en cause, c’est la proclamation de son existence qui fait dogme. Et si d’aventure on nous autorisait à réfléchir en faisant abstraction de cette existence proclamée, à quoi bon la proclamer si c’est pour « s’asseoir dessus ».

 

Alors je réitère ma proposition publiée sur :

http://rosartsette.blogspot.fr/2012/07/a-propos-du-gadlu.html 


 Si à la GLDF on maintient la proclamation de l’existence d’un GADLU, principe créateur ou pas créateur, car là n’est pas le problème, il faut limiter la recherche de la vérité en ajoutant le mot « autre » au texte de la déclaration de principe.

 

Il faut lire alors :

 

Elle n’impose aucune « AUTRE» limite à la recherche de la vérité, et c’est pour garantir à tous cette liberté qu’elle exige de tous la tolérance.

 

                                                                             Vendenheim le 04.03.2014

                                                                             Maurice Rosart :.

                                           https://www.blogger.com/profile/13473395287451822932

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